Je vous avais prévenu que je ne vous lâcherais pas de sitôt avec “Home” de Procol Harum (cf. note bas de page).
Barnyard Story est une autre magnifique chanson où se déploie la poésie un peu hermétique et totalement désespérée de Keith Reid.
Le piano de Gary Brooker, puis sa voix, inaugurent la chanson, rejoints ensuite par C. Coping qui livre ici une partition digne de M. Fischer. Ni guitare, ni basse, ni batterie, le morceau, dans sa nudité, touche profondément, et vient attester du génie de Procol Harum.
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voir, par ailleurs, ma petite chronique, à propos de “Nothing That I Didn’t Know”.
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