Avant de lire ce qui suit, il faut que vous vous reportiez à ce que j’écrivais précédemment concernant The Left Banke*.
Car on était maintenant au début de l’année 1967, et The Left Banke se retrouvait dans un studio pour enregistrer son premier album, “Walk Away Renee/Pretty Ballerina”.
Il y avait un nouveau guitariste, Rick Brand, mais il faut dire, comme cela se faisait beaucoup à l’époque, qu’un certain nombre de musiciens de séances sont intervenus dans l’enregistrement de l’album.
Quoi qu’il en soit, “Barterers And Their Wives” écrite par Michael Brown, paroles de Tom Feher, est encore une chanson totalement à contre-courant de ce qui se faisait dans le domaine de la musique pop, à l’époque.
L’utilisation du clavecin est brillante et bien en accord avec le parfum “Renaissance” que distille la chanson, et je crois bien que l’écriture des parties vocales obéit aux règles du contrepoint.
Mais, au-delà de ces détails techniques, il y a une chanson d’une sophistication inédite, et d’une qualité de composition telle, qu’elle brille encore, un demi-siècle plus tard, comme si elle venait d’avoir été enregistrée.
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