Est-ce l’influence de Sufjan Stevens qui a conduit Woodpigeon à nous proposer ce (joli) titre à rallonge pour cette ─ non moins jolie ─ chanson ?
Quoi qu’il en soit, fidèle à mon projet visant à sortir de l’oubli un certain nombre d’œuvres injustement négligées, c’est un autre titre de Treasury Library Canada que j’exhume.
Oh, rien de révolutionnaire dans cette petite chanson qu’on doit encore à la plume de Mark Andrew Hamilton, et on peut s’amuser*à relever diverses influences (Neil Young, Sufjan Stevens, Crowded House, Iron & Wine…), toutes d’excellente qualité, mais la mélodie est de celles que l’on n’oublie pas ; les sept musiciens (au sein desquels on peut quand même relever la présence de quatre musiciennes ; c’est suffisamment rare pour être salué) autorisent une instrumentation riche (clarinette, flûte, violon, banjo, glockenspiel, etc.) qui contribue pour beaucoup à l’originalité du groupe. Mineur mais essentiel.
*En fait, l’exercice m’amuse modérément, car j’ai l’impression qu’une bonne partie de la critique actuelle, dans le domaine musical, consiste simplement à relever la somme des diverses influences présentes. Cela traduit, à l’évidence, la culture musicale de l’auteur de la dite critique, mais certainement pas ce que l’œuvre peut apporter de nouveau ou de personnel.
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