“Peace Of Mind” représente un autre aspect de l’impact que Music In A Doll’s House a pu avoir sur la scène londonienne, cet été-là*. Emmené conjointement par la voix de Roger et le violon de Ric Grech, la chanson, qui met également en valeur la voix de Jim King, illustre bien ce mélange de rock, de musique progressive, de psychédélisme et de rhythm n’ blues qui fait la singularité de cet album. Mais l’importance de cette première œuvre de Family est à chercher dans la qualité des chansons, l’originalité n’étant pas une fin en soi ; et, de ce point de vue, Music In A Doll’s House est une réussite totale. J’ai longtemps fait la fine bouche devant la production de Dave Mason, lequel, en mariant Traffic avec Family s’était rendu coupable d’une union assez mal assortie. Mon jugement n’est pas, aujourd’hui, aussi péremptoire, et je trouve un certain charme à cette alliance inattendue. Vous l’avez compris, Music In A Doll’s House fait partie de ces disques indispensables de la fin des années 60, et il serait dommage de l’ignorer.
*Voir ma chronique de “Mellowing Grey”.
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Merci de développer votre précédent article