Si on vous dit que “Third” est le meilleur album de Soft Machine, c’est vrai. Double album vinyle à l’origine, chaque musicien avait sa face et Moon In June est la face de Robert Wyatt.
Elton Dean, le saxophoniste n’apparaissant pas sur ce titre, on n’y entend que 3 musiciens. De plus, la 1ère partie (chantée) n’est l’œuvre que de Wyatt, celui-ci prenant également en charge le piano et la basse.
Ensuite, rentrent en action Mike Ratledge, avec ce son d’orgue Lowrey caractéristique, augmenté de “fuzz”, et Hugh Hopper, le bassiste, lequel utilise également ce son distordu.
Et la voix et la batterie de Robert qui se baladent par-dessus tout ça et qui nous entraînent dans un morceau de plus de 19 minutes, beaucoup plus structuré et construit qu’il n’y paraît, fait de plusieurs thèmes qui se suivent, et qui, pourtant, ne retirent pas au morceau une certaine unité. Preuve en est les différentes versions “live” de Moon In June, parmi lesquelles je retiens, en particulier, une version datant de l’année précédente, et enregistrée à la BBC.
Il y a les chansons d’amour. Il y a les chansons de désamour. Et puis,…
Lorsque j’ai décidé de clôturer ce blog, je ne connaissais pas ce groupe anglais de…
Cette chanson, écrite par Ian McCulloch, figure sur l'album du même nom, qui est le…
Je viens de relire ma précédente chronique à propos de ce 40 Days, premier album…
Quelle sublime pochette ! Cette photo de Paul Simonon détruisant sa Precision Bass sur la…
Great Lake Swimmers fait partie des groupes dont j’ai scrupuleusement suivi la carrière, étape par…