Eh bien, oui, c’est ce qui s’appelle enfoncer le clou. Récemment, je vous ai entretenu de l’amour que je porte au 1er album des Sundays, sorti en 1990, “Reading, Writing And Arithmetic”.
C’est la raison pour laquelle, quoique ayant choisi le point de vue de la chanson, c’est d’abord à une recommandation d’écouter tout l’album, à laquelle je voudrais vous convier, car c’est simplement dans cette perspective que vous pourrez mieux juger de l’importance du couple Harriett Wheeler-David Gavurin, pour la musique de ces années-là.
My Finest Hour est donc une autre merveille portée par la guitare tournoyante et toujours aussi inspirée de David, et la voix incroyable d’Harriett, qui chante des paroles dont je vous invite à apprécier l’ironie.
Il y a deux ans environ, j’ai entendu dire que le couple avait l’intention de revenir à la musique (les enfants doivent être grands, maintenant !), mais rien, depuis.
Il y aurait pourtant, contrairement à certains groupes dont la reformation fut inutile, une vraie occasion de se réjouir, si cela arrivait.
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