Ma chanson préférée de Cat Stevens. Apparue sur l’album “Tea For The Tillerman”, c’est une merveille de délicatesse, rehaussée par des paroles qui évoquent la fragilité, l’évanescence, “Et tout qui se vide dans le blanc”, et la très belle modulation dans la mélodie, laquelle crée une tension non résolue d’une confondante efficacité et d’une élégance juste troublée par un violon un peu trop romantique.

Bon, me dis-je, allons écouter ce que Carly Simon a fait de ce bijou, car je savais que la chanteuse américaine avait sorti, en 2007, un album de reprises, où figurait ce “Into White”, et j’étais curieux d’entendre ce qu’une femme possédant son talent, en avait fait.

OldClaude, quel sexiste tu fais ! La délicatesse, la fragilité, l’émotion, la féminité sont, à n’en pas douter (mais on a le droit de ne pas être d’accord) du côté de Cat Stevens. Les féministes radicales viennent sans doute de se trouver une nouvelle cible, mais je persiste et signe…

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