Voilà la deuxième chanson que j’ai choisi de vous présenter, sur “Grand Prix”, et il s’agit encore d’une composition du guitariste Raymond McGinley, qui en est également l’interprète.

C’est donc Raymond qui chante et Norman assure les harmonies vocales. Le son de guitare de Raymond est un peu plus agressif et distordu que dans “Verisimilitude”*, mais s’inscrit toujours dans cette filiation Byrds-Big Star dont TFC est le représentant le plus talentueux.

Si vous regardez la vidéo en public qui date de 1995, vous pourrez voir Raymond jouer sur cette étonnante guitare Guild “Brian May”, qu’il abandonnera par la suite pour utiliser une Fender JazzMaster.

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