Ernest Hemingway disait que “dans tous les arts, le plaisir croît avec la connaissance que l’on a d’eux”. Je ne connaissais pas l’Australienne Sarah Blasko, et c’est bien parce que j’ai eu entre les mains son quatrième album*, que j’ai découvert une “nouvelle” auteure-compositeur-interprète de première grandeur.

Cet album, “I Awake” a été produit et enregistré à Stockholm par Sarah Blasko, en compagnie d’un orchestre de 52 musiciens, le Nouvel Orchestre Symphonique Bulgare.

Écrin idéal pour la voix somptueuse de Sarah, cet orchestre brille particulièrement dans ce “An Arrow”, sommet d’un disque, de toutes façons indispensable.

Tempo lent marqué par une batterie discrète, piano indiquant les accords, et surtout, utilisation très intelligente de l’orchestre, mixé très près de la voix, sur le même plan, dans une fonction de dialogue et non de simple accompagnement.

Sarah Blasko nous offre avec “An Arrow” l’une des plus belles chansons de cette année-là. Qui en a entendu parler ?

Il ne me reste plus, maintenant, qu’à mettre la main sur les 3 premiers albums de Sarah Blasko, et surtout sur les 2 qu’elle a sorti depuis “I Awake”. C’est ce qui s’appelle avoir du pain sur la planche, mais comme vous le savez, j’adore ça !

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*Merci, Alain !

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